Film

Les Enfants d’Arna : Un film de Juliano Mer-Khamis

Youssef a commis un attentat-suicide en 2001. Ashraf a été abattu par l’armée israélienne en 2002. Alla commandait un groupe de combattants résistants jusqu’à sa mort, en 2003. Enfants, ils étaient les acteurs prometteurs de la troupe théâtrale que Juliano Mer Khamis, le réalisateur, avait fondée avec sa mère Arna dans les années 1980, dans le camp de réfugiés de Jenine. Il avait alors tourné les répétitions et les représentations. Il est retourné à Jenine en avril 2002, pour comprendre ce qu’étaient devenus les enfants qu’il y avait connus.

Les Enfants d'Arna

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Gaza strophe : Un film de Samir Abdallah et Kheiridine Mabrouk

Samir Abdallah et Kheridine Mabrouk sont rentrés à Gaza le 19-01-2009, le jour même de l’annonce du cessez-le-feu, avec une dizaine de français, dont une sénatrice des Verts, Alima Boumedienne, le responsable des relations internationales du PCF, Jacques Fath, Mireille Fanon Mendes-France, attachée parlementaire des M. Braouzeck, et des medecins et des infirmiers urgentistes.

Les cinéastes sont restés un mois, à filmer Gaza et à récolter les témoignages de ses habitants.  Documentaire exceptionnel.

Gaza strophe : Un film de Samir Abdallah et Kheiridine Mabrouk

Jaffa, la Mécanique de l’Orange : Un film de Eyal Sivan

Jaffa, l’une des plus anciennes villes du monde, était aussi l’une des villes les plus prospères et les plus peuplées de Palestine. Avec ses orangeraies déployées à perte de vue, elle fournissait du travail, depuis la cueillette du fruit jusqu’à sa préparation pour l’exportation, non seulement aux Palestiniens mais à des ouvriers venus d’Egypte, de Syrie, du Liban.

En 1948, plus de 4 000 bombes tombent sur Jaffa. Sur les 85 000 Arabes qui y vivaient, il ne va plus en rester que 3 000. Le gouvernement israélien confisque les orangeraies et s’approprie l’orange de Jaffa, qui est devenue le symbole des produits de la colonisation.

Pour nous raconter cette « mécanique de l’orange » et le recouvrement de Jaffa, Eyal Sivan met à l’écran une foule d’images et de représentations et donne la parole à de nombreux interlocuteurs palestiniens et israéliens, historiens, écrivains, chercheurs, ouvriers… Un travail remarquable autour d’un fonds d’archives, photographies, peintures, vidéo, et de témoignages percutants.

Jaffa, la Mécanique de l'Orange : Un film de Eyal Sivan

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Chatila, les femmes et les enfants : Documentaire de Denys Piningre

Le camp de Chatila a été construit à la limite de Beyrouth, au Liban, lorsque, à la création de l’État d’Israël en 1948 (l’année de la « Nakba « ), 900 000 Palestiniens ont dû fuir leur pays et se réfugier à l’étranger. Aux premiers temps du camp, ce sont des tentes et des constructions de fortune à base de matériaux récupérés qui ont abrité les 3 000 Palestiniens qui débarquaient là. Aujourd’hui, dans le même périmètre, ils sont 13.000, entassés dans des immeubles dont la hauteur augmente chaque année. Leurs conditions de vie sont misérables, le peu d’aide qu’ils reçoivent provient des mouvements politiques Palestiniens, mais aussi du Haut Commissariat aux Réfugiés -a gence de l’ONU – et d’ONG étrangères.

Ces aides suffisent à peine pour permettre la survie. Le gouvernement du Liban interdit aux réfugiés l’accès à de nombreux métiers, tels qu’avocat, médecin, ingénieur, enseignant, cadres de toutes professions… ce qui cantonne les habitants de Chatila à exercer souvent au noir les petits métiers les plus mal payés. Chatila a été la cible en 1982 d’une attaque en règle d’une violence inouïe des Phalangistes Libanais, perpétrée sous l’œil bienveillant et avec la complicité de l’armée israélienne commandée par Ariel Sharon.

Cette horreur a été connue dans le monde entier, sous le nom choisi avec exactitude de « Massacre de Sabra et Chatila ». Entre 1500 et 2000 morts tués au couteau, à la hache … Aujourd’hui et sans relâche depuis 62 ans que l’exil a commencé, les Palestiniens des camps n’ont qu’un seul mot d’ordre : le retour ou le retour… Le film « Chatila, les femmes et les enfants… » s’inscrit dans ce contexte, l’histoire du camp, les conditions de vie des réfugiés. Il est centré sur plusieurs personnages qui se sont investis depuis des années dans la lutte contre le silence, contre la perte de la culture et des traditions palestiniennes. […] (Denys Piningre,avril 2010)

http://denyspiningre.blogspot.com/
Extrait: http://www.youtube.com/watch?v=5TrIOZk01MA&feature=digest


 

 

 

 

 

 

 

 

La terre parle arabe : Documentaire de Maryse Gargour

La terre parle arabe est un film documentaire de 61 minutes réalisé par Maryse Gargour en 2007.

Il a reçu plusieurs prix dont le prix ASBU, le prix mémoire de la Méditerranée, le prix France 3 Méditerranée

« La Terre parle arabe » croise le regard de l’historien et du cinéaste pour soulever une vérité brûlante, celle du nettoyage et de la spoliation de la terre palestinienne par les sionistes.

La terre parle arabe : Documentaire de Maryse Gargour

Le sel de la Mer : Film d’Anne Marie Jacir

Soraya, 28 ans, née et élevée à Brooklyn, décide de rentrer s’installer en Palestine, le pays d’où sa famille s’est exilée en 1948. Dès son arrivée à Ramallah, Soraya cherche à récupérer l’argent de ses grands-parents gelé sur un compte à Jaffa mais elle se heurte au refus de la banque…

Le sel de la Mer : Film d'Anne Marie Jacir

Rachel : Un film de Simone Bitton

La vie et la mort de Rachel Corrie, une jeune pacifiste américaine écrasée par un bulldozer israélien dans la bande de Gaza en 2003, alors qu’elle tentait d’empêcher la destruction d’une maison palestinienne…

Rachel : Un film de Simone Bitton

Jérusalem, East Side Story : Un film de Mohamed Alatar

Après Iron Wall, Mohammed Alatar décrit dans Jerusalem The East Side Story la politique israélienne de confiscation de Jérusalem. Il donne la parole à des responsables palestiniens et israéliens ainsi qu’à des militants pour les droits de l’Homme et des analystes politiques. Le film montre surtout le quotidien des habitants de Jérusalem-Est qui font face à la confiscation de leur terre et à la destruction de leurs biens.

Jérusalem, East Side Story : Un film de Mohamed Alatar

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