Gaza: 12 films palestiniens en libre accès jusqu’au 21 octobre

Le Palestine Film Institute (PFI) propose une série de films, en libre accès jusqu’au 21 octobre, célébrant la beauté de Gaza, son peuple, sa lutte et sa survie. Le programme vise à proposer une résistance face à la diabolisation de cet endroit magnifique.

Par l’Agence Média Palestine, le 16 octobre 2023

Face à la démonisation et à l’invisibilisation perpétuelle de la Palestine et cruellement actuelle de Gaza, le PFI propose Unprovoked Narratives : un programme de 12 films gazaouis, disponibles en libre accès jusqu’au samedi 21 octobre.

Les films sélectionnés couvrent un large éventail de thèmes et de genres, allant d’histoires personnelles de triomphe et d’espoir à des documentaires stimulants qui mettent en lumière des réalités sociopolitiques. Ensemble, ils dessinent un paysage d’histoires, offrant aux spectateurs.rices la possibilité de s’engager dans l’histoire et le présent de Gaza.

Les films proposés dans le cadre du programme Unprovoked Narratives sont :

  • Le Conte des trois diamants, de Michel Khleifi (1995)
  • Ouroboros, de Basma Alsharif (2017)
  • Ambulance, de Mohamed Jabaly (2016)
  • Scènes d’occupation à Gaza, de Mustafa Abu Ali (1973)
  • To My Father, de Abdel Salam Shehada (2008)
  • Condom Lead, de Tarzan Nasser & Arab Nasser (2013)
  • Gaza Ghetto: Portrait of a Palestinian Family, de PeÅ Holmquist, Joan Mandell & Pierre Bjorklund (1985)
  • One More Jump, de Emanuele Gerosa (2019)
  • Gaza Calling, de Nahed Awwad (2012)
  • Shujayya, de Mohammed Almughanni (2016)
  • Samouni Road, de Stefano Savona (2018)
  • Habibi, de Susan Youssef (2011)

Découvrir les films du programme ici.

Le Palestine Film Institute – PFI – est une organisation palestinienne bénévole et indépendante née d’un désir partagé par des professionnel.le.s du cinéma qui s’identifient comme Palestinien.ne.s, de créer un organisme inclusif ayant pour mission de développer, promouvoir et renforcer la communauté et l’industrie du cinéma en Palestine et pour les Palestinien.ne.s du monde entier, et de préserver son cinéma.

Retour en haut